C'est une pratique courante le balais dans le cul ? (Gawyn)

Invité

Gawyn Thornfeat Michiel Huisman

will you be able to catch the leprechaun ? he's waiting for you.

identité : Un prénom pour le moins original, pour un homme aussi peu commun que lui, rien d'étonnant. Gawyn dont il porte fièrement. Et pour cause il signifie Faucon Blanc de la Bataille, l'animal le plus noble qui soit. Personne ne sait quel secret se cache derrière ce prénom, et c'est tant mieux. Suivi de Thorn, patronyme du patriarche lourd d'histoire, représentant toute la lignée Thorn, une lignée d'hommes braves, courageux de générations en générations.

naissance : Le brun est né le jour pluvieux, le 15 avril 1986 à Bath, en Angleterre. Dans une petite maternité, le même jour que son jumeau qui est son aîné de quelques secondes. Aujourd'hui, l'homme au regard sombre arbore trente et une années, le temps défile à vive allure.

origines : Elles sont nombreuses, australiennes de part sa mère, anglaises et irlandaises évidemment, sinon il ne serait pas revenu sur ses terres.

statut : Gawyn est un oiseau libre qui ne cherche aucune attache, préférant batifoler de temps à autre sans que cela n'aille plus loin. Son coeur se veut inaccessible, il clame haut et fort qu'il n'a besoin de personne dans sa vie.

occupation : ($$$$$$), L'armée n'est plus qu'un lointain souvenir, une douleur lancinante qui ne le quitte jamais. Désormais retraité, il jouit d'une vie plus ou moins simple en tant que policier.

situation familiale : C'est le chaos. Il y a trop de morts, trop de disparus. Son coeur saigne à mesure que le temps passe et qu'il comprend que bientôt, il se retrouvera seul. Son père est décédé, suivi de son frère jumeau dans un terrible accident. Sa génitrice reste sa seule famille, la pauvre femme n'est néanmoins plus la même depuis, sombrant dans une profonde dépression. Elle est donc dans un établissement spécialisé.

arrivée à dublin : 2002.

Pantī. Clara 21 ans France inventé une carotte

#solitaire #froid #gentil

let's play my movie

singing my song

#grincheux #brave #têtu

golden cauldron Franc - Malin - Rusé - Réservé - Grognon - Distant - Prudent voire méfiant - Généreux - Aventureux - Provocateur - Maniaque - Borné - Rancunier - Possessif - Menteur - Foncièrement gentil malgré son air bourru - Maladroit avec les mots - Impulsif - Joueur.

Quel est ton mythe irlandais favori ?Je dirais le Puck ce petit farfadet, ou bouffon qui s'amuse à faire des blagues me ressemble énormément. Il représente la part enfantine qui me reste. Sa capacité de se transformer en animal est drôle cool aussi. Enfin bref, j'aime ce personnage mythique pour ce côté candide. On ne va pas se mentir,
c'est drôle de pousser des vieilles dames, ce à quoi s'amuse le Puck,
et j'adore. Ce genre d'humour, c'est mon style.

Dublin est-il ton home sweet home ?Mon histoire est compliquée et liée à Dublin quoiqu'il advienne. J'ai vu mon père mourir ici, puis mon frère. Je dirais que cette ville représente énormément de malheur. Malgré tout, il y reste ma mère,
ça reste la ville qui m'a vu grandir, même si j'avoue que j'aimerai retourner à Bath. La vie a fait que j'ai dû la quitter. Dublin, je l'ai dans mon coeur, malgré tout. Je ne la quitterais pour rien au monde car j'ai vécu énormément, même si les événements malheureux ont été plus nombreux que les moments de bonheur.

Maniaque, ne supporte pas la poussière - Allergique au lait - Agile, sait manier les armes à feux mais aussi se battre, vestige de sa formation militaire - Se drogue au café pour tenir la journée - Ne fume pas - Rares sont les fois où on ne le voit pas avec une bière - Ne supporte pas les tatouages - Phobique des araignées - Avare, compte son argent car il a dépensé à tout va lorsqu'il a touché le gros lot - Il va voir sa mère une fois par semaine dans l'hôpital de jour psychiatrique où elle se trouve - N'apprécie pas voir les services secrets se mêler de ses enquêtes

my crazy lifestyle

#flingue #lutte #fierté

„ Never be ashamed of who you are “

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Invité

A beautiful Story

Bath. Quelle belle ville. Autant que j’ai pu m’en souvenir, j’ai toujours été émerveillé par cet endroit. Avec ses grattes ciels qui semblent ne pas avoir de fin. Je ne suis qu’un petit garçon qui foule sa terre, sous un soleil de plomb. Ma mère me tient la main, tandis que je tiens celle de mon frère jumeau, Owen. Malgré l’absence de mon père, nous sommes heureux. Mon frère et moi échangeons des regards complices tandis que l’on se rapproche peu à peu de l’école maternelle. Aujourd’hui est un grand jour, nous avons notre premier jour d’école. C’est un nouveau monde qui s’ouvre à nous. J’ai hâte de le découvrir davantage, alors, j’accours presque, traînant avec moi mon frère jumeau qui se met à pleurer en songeant que sa mère ne sera plus là dans quelques minutes. Ma main lâche la sienne et je continue de courir, apercevant le bâtiment plus loin. Bien entendu, je ne prends aucunement conscience du monde qui m’entoure et du fait que je passe sur un passage piéton. Une voiture manque de me percuter, mais je ne cesse pas ma course, le sourire aux lèvres, sans prêter attention au cri de ma génitrice. J’arrive devant l’entrée de l’établissement scolaire où m’accueille une vieille femme, chaleureuse, je lui rends son sourire avant de tourner la tête vers ma mère. Elle est furieuse, je peux le voir à son visage devenu rouge, ses yeux fous me fixant. Brusquement, sa main attrape mon bras, tandis qu’elle hèle. « Gawyn ! Tu nous as fait terriblement peur, fais attention où tu vas bon sang ! Tu devrais faire comme ton frère, m’attendre. Ce soir, tu es privé de dessert. ». Ma mâchoire se serre tandis que mes prunelles claires glissent sur mon frère qui essuie ses larmes. Je soupire en hochant la tête, faisant profil bas. De nous deux, j’ai toujours été le plus casse-cou, le plus maladroit et fonceur. Lui reste tout le temps dans les jupons de maman. Il est peureux et cela a le don de m’agacer. Nous sommes jumeaux, pourtant, j’ai la sensation que seul le physique nous rapproche.

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Je m’accoutume plutôt bien au système éducatif. Mes progrès sont fulgurants, mais ceux de mon frère le sont bien plus. Toujours comparé à lui, mes parents le félicitent, lui offrent des cadeaux hors de prix. A quoi ai-je eu droit ? Un foutu dictionnaire. Indéniablement, je suis le méchant petit canard, celui de trop qui n’a pas sa place et qui fera toujours tâche, celui qui reste dans l’ombre de l’autre. Je suis cependant trop jeune pour le comprendre, je suis naïf, et j’aime énormément mon frère. Nous sommes inséparables à l’école, c’est moi qui le défends des autres marmots. J’agis comme son garde du corps avec un certain plaisir, ce qui n’arrange pas mon caractère déjà bien casse-cou et intrépide. Les bagarres sont mon lot quotidien, ainsi que la provocation. Au collège, je deviens le caïd, le petit bourge qui se la joue racaille. Mes parents ne manquent pas d’argent, c’est une évidence, mais je ne le montre pas. Peu à peu, un fossé se creuse entre moi et Owen. Lui est brillant, le premier de la classe, et moi, je suis parmi les derniers, à traîner la patte et en faisant preuve d’insolence. La sensation de rejet ne s’estompe pas. Une ombre invisible plane sur moi. Je le sens grandir en moi, ce complexe d’infériorité. Toute ma famille me compare à lui, qui est si travailleur, si beau, si…parfait. Moi, je ne suis qu’une merde. Pas la peine de dire que mon adolescence est un immense fiasco. Un fiasco dont ma propre famille est l’investigateur. Et cela ne s’arrange pas du tout lorsque nous quittons Bath en 2002 pour Dublin, la ville natale de mon père. Ma génitrice n’est pas ravie de partir, mais l’amour qu’elle ressent pour son époux la pousse à le suivre.

Le lycée. Encore une découverte, et surtout, de la liberté. Mes parents ne sont plus sur mon dos, je suis enfin maître de moi-même, la majorité approchant, je sais que bientôt, je pourrai enfin quitter la demeure familiale. Les rôles sont toujours les mêmes. Je suis encore et toujours le vilain petit canard, ce à quoi mon frère ne veut pas ressembler. Il prend soin de m’éviter dans les couloirs du lycée, comme par honte de m’avoir dans sa famille. Je sais pertinemment qu’il s’agit de la triste réalité. Et en bon emmerdeur que je suis, mes pas s’approchent de lui tandis qu’un sourire narquois illumine mon visage, et le sien se décompose. La provocation est sans doute mon jeu favori, j’excelle dans ce domaine, et voir Gawyn dans un tel état me fait jubiler. Il me voit désormais comme le contraire de lui, il me voit désormais comme une ombre de lui-même. Le fossé entre nous est devenu un univers. Plus rien ne semble pouvoir nous rapprocher. Nos chemins ont pris des chemins trop différents pour un jour se recroiser. Cela me fait mal au cœur. J’ai besoin de lui, et lui a besoin de moi, c’est ainsi que fonctionnent les jumeaux. Un lien nous unit malgré notre volonté de le répudier. C’est la tête basse que je continue mon chemin et lui le sien jusqu’au baccalauréat. Le diplôme obtenu je m’empresse de quitter la villa de mes parents pour m’engager dans l’armée, tout comme mon frère. Evidemment, ce dernier grimpe les échelons, je suis en plan, comme d’habitude. Mes parents lui ont toujours voué une grande reconnaissance, ils attendent tellement de lui. Le petit prodige qu’il est, a un bel avenir devant lui.

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Ma première fois a lieu lors d’un voyage pour les vacances avec des amis. Je ne me souviens plus de rien, mon esprit est embrumé par tout ce que j’ai pu ingurgiter en cette soirée. C’est en me réveillant le matin, aux côtés d’une femme que je comprends que je viens de perdre ma virginité. Totalement nu, j’ouvre les yeux, constatant que je me trouve dans ma chambre. Ma partenaire dont je ne connais nullement le nom dort encore, d’ailleurs, je n’ai pas choisi la plus belle...L’alcool et la drogue me font vraiment faire des conneries. Ma première fois a lieu lors de ma première année d’étude. Je ne me souviens plus de rien, mon esprit est embrumé par tout ce que j’ai pu ingurgiter en cette soirée. C’est en me réveillant le matin, aux côtés d’une femme que je comprends que je viens de perdre ma virginité. Totalement nu, j’ouvre les yeux, constatant que je me trouve dans ma chambre d’étudiant. Ma partenaire dont je ne connais nullement le nom dort encore, d’ailleurs, je n’ai pas choisi la plus belle...L’alcool et la drogue me font vraiment faire des conneries. Celle-ci ouvre les paupières en s’étirant. « T’as quel âge ? » Dis-je d’un ton sec, ne lui laissant guère le temps de faire quoique ce soit. Elle me paraît étrangement jeune maintenant que je l’observe de près. Papillonnant des cils, elle me répond« Comme toi, euh…21 ans. » Je m’énerve, je vois qu’elle ment, mon regard se fait plus insistant et elle avoue n’avoir que 17 ans. Merde, c’est du détournement de mineur ça. Je ronchonne en quittant les draps pour prendre le chemin de la salle de bains lorsque cette gamine se redresse du lit, m’attrapant la main. « Gawyn, on va se revoir hein ? ». Je lui fais lâcher ma main avec violence, tandis que je me retourne en sa direction. Je n’ai pas le temps de rétorquer qu’elle reprend d’une voix plus assurée cette fois. « Tu sais que j’peux porter plainte. » Serait-ce une menace ? Nos regards se jaugent, et je saisis que oui. Si elle porte plainte, je risque gros. Voilà que je me fais mener le bout du nez par une adolescente. Je ne réponds pas et prends ma douche, silencieux, réfléchissant à la gravité de la situation. Je me suis foutu dans un beau merdier encore. Enroulant la serviette autour de ma taille, j’entends que le téléphone sonne, et l’autre pimbêche n’hésite pas à y répondre. Non mais pour qui elle se prend ? Je me précipite vers elle et lui arrache des mains. Rares sont les fois où je reçois des appels, ça doit être important, et je ne me suis pas trompé. Mon père est mort, d’une crise cardiaque, la voix de ma mère me brise le cœur. Elle me dit que les obsèques ont lieu en fin de semaine, j’acquiesce et raccroche. « Casse-toi. » Je m’adresse à la jeune fille, d’une voix glaciale, menaçante. Lorsque je suis dans cet état, il vaut mieux ne pas me désobéir. Mon regard devient sombre, tandis qu’elle se précipite vers la sortie une fois habillée. La porte se claque, tandis que je suis toujours debout, la main sur le téléphone, comme figé. Mon père n’est plus. Je n’ai pu lui dire tout l’amour que je ressens à son égard. Ma gorge s’est serrée sous l’émotion. Peut-être n’était-il pas un père idéal, mais je l’ai toujours aimé, et aujourd’hui, il est parti.

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C’est sous la pluie que nous assistons à l’enterrement de papa. Toute la famille est présente, tous vêtus de noir, mon frère se tient à mes côtés. Nous n’avons échangé aucun mot depuis nos retrouvailles. De simples regards fuyants, des lèvres pleines de non-dits. Une heure plus tard, nous rentrons à la maison. J’ai la sensation que rien n’a changé. La demeure est toujours aussi grande, froide. Je n’ai qu’une envie : repartir pour quitter cette ambiance morose, délétère. Son parcours est exemplaire, tandis que je ne suis qu’au poste de lieutenant, lui affiche fièrement son galon de colonel et bientôt de général. Nous nous retrouvons un soir, en famille afin de soutenir ma mère, profondément touchée par le décès de son époux, l’homme de sa vie. C’est l’odeur du feu qui me réveille de si bon matin. J’ouvre les yeux et constate que de la fumée est en train de s’immiscer dans ma chambre. Puis, des flammes dévorent ma porte de bois. Que se passe-t-il ? Epris de panique, j’ouvre la fenêtre et saute, atterrissant dans un buisson. Ni une ni deux, je me relève et accours à l’intérieur de la maison, je suis malheureusement retenu par les pompiers déjà sur place. Les poutres tombent tandis que les flammes s’attaquent à la charpente. « Owen ! » Je l’appelle vainement. Les minutes me paraissent des heures. Le lieutenant des pompiers s’approche de ma personne, tenant dans ses mains le portefeuille de mon frère jumeau. C’est la seule chose qu’il me reste de lui. J’apprends plus tard que le feu s’est déclenché à cause du téléphone branché de mon frère. Ce dernier étant à côté de son lit, il a été empoisonné par le gaz puis brûlé par les flammes. Ma mère et moi sommes inconsolables. Jusqu'à ce qu'une nouvelle ne nous parvienne. Avant de mourir, mon frère avait joué au loto. Comme s'il avait senti le vent tourner. Avec sa chance habituelle, il a gagné. Je manque de m'étouffer en mangeant en découvrant son nom lors du tirage. Des millions, pour nous. Pour ma mère et moi. Une aubaine, une opportunité à laquelle je me dois de saisir. Les papiers de mon frère entre les mains, j'y vais au culot, arborant son identité le temps de recevoir le trésor, la promesse d'une nouvelle vie, mais d'un mensonge. Encore une fois, j'agis dans son ombre, dans celle de mon frère, Owen.

La vie reprend son court, ma mère est internée dans un hôpital psychiatrique à cause de sa trop grande dépression. Impossible à gérer, elle avait des idées noires causées par sa souffrance mentale d’avoir perdu son fils en plus de son mari. Je ne pouvais l’aider à lever la tête, elle est désormais déconnectée de la réalité. Enfermée dans sa folie, les conversations sont rares entre elle et moi, ça me brise le cœur de la voir si diminuée. Mais c’est ainsi. Je me jette à corps perdu dans ma formation pour devenir policier, je suis incapable de rester sans rien faire, retraité de l’armée depuis trop longtemps.
Mon chemin croise celui d’une fille à la crinière rousse, Avalon. Une rapide histoire d’amour, quelque chose de passionné mais éphémère. Une fois de plus, je n’ai pas su rester, fuyant tout engagement. Je ne la mérite pas et dans un coin de mon esprit, je le sais, j’en suis persuadé.

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Toi et moi, on va se trouver un bon petit lien :=3:
Je te souhaite la bienvenue parmi nous en tout cas ! :hrt2:
Tu le sais déjà, je trouve ton personnage juste fantastique
Bon courage pour la suite de ta fiche !

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Oh bah merci ma belle pour l'accueil, ça fait plaisir :hrt2:
ta miss est pas mal non plus C'est une pratique courante le balais dans le cul ? (Gawyn) 4212026397

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Avec plaisir pour le lien, je vais réfléchir et zieuter ta fiche pour voir si une idée me vient C'est une pratique courante le balais dans le cul ? (Gawyn) 1532802441

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EDIT: Je viens de capter que tu joues Tracy aussi tue moi stp C'est une pratique courante le balais dans le cul ? (Gawyn) 689492584

Non mais toi et tes titres C'est une pratique courante le balais dans le cul ? (Gawyn) 1447788608

tu me vends du rêves ma clara C'est une pratique courante le balais dans le cul ? (Gawyn) 2745892574

Bienvenue sur DOT en tout cas, j'espère que tu te plairas ici C'est une pratique courante le balais dans le cul ? (Gawyn) 4212026397

hésites pas si tu as le moindre soucis ou la moindre question :=3:

Ma Clarinette d'amour C'est une pratique courante le balais dans le cul ? (Gawyn) 136071057

J'aime ton petit poussin, son histoire toussa toussa C'est une pratique courante le balais dans le cul ? (Gawyn) 2813842076

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Bon courage pour le reste de ta fiche C'est une pratique courante le balais dans le cul ? (Gawyn) 451242138

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J'ai été très vilaine monsieur l'officier C'est une pratique courante le balais dans le cul ? (Gawyn) 4212026397

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Cet homme est beaucoup trop beau C'est une pratique courante le balais dans le cul ? (Gawyn) 3461313131

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@Avalon Clarke Ma Lindouille :brille:
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@Elias Hawkes Et que dire de Ryan ? C'est une pratique courante le balais dans le cul ? (Gawyn) 3957018114

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tu sais déjà ce que je pense de ton avatar C'est une pratique courante le balais dans le cul ? (Gawyn) 199157311

dépêche toi, la môme a besoin d'être canalisée C'est une pratique courante le balais dans le cul ? (Gawyn) 689492584

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@Devon O'Leary Et toi avec Sophie, t'es bonne C'est une pratique courante le balais dans le cul ? (Gawyn) 2374275271

J'arrive vite C'est une pratique courante le balais dans le cul ? (Gawyn) 2813842076

Gawyn Thorn a écrit:: @Avalon Clarke Ma Lindouille :brille:
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Vite, qu'Avalon le tape un peu C'est une pratique courante le balais dans le cul ? (Gawyn) 879587328

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