|  Long et dur est le chemin qui de l'enfer conduit à la lumière Ven 5 Jan - 18:50 |
| Aaron Callaghanfeat Dan Stevens will you be able to catch the leprechaun ? he's waiting for you. identité : Callaghan, nom à consonance irlandaise alors que ce sont pourtant des traits plus britannique qui ornent mon visage. Aaron prénom hébreu, dans la bible Aaron, fils de Jacob est le frère ainé de Moïse et Myriam. Ici à Dublin, je suis aussi l'ainé d'une fratrie fondé par Jacob Callaghan.
naissance : Je suis né le dix octobre mille neuf cent quatre-vingt deux à Dublin, j'ai 35 ans.
origines : Comme mon apparence le laisse deviner, j'ai des origines britannique du côté maternel.
statut : Je suis marié avec la plus belle des âmes, Joyce, mon rayon de soleil, ma lumière parmi les ténèbres. Hétérosexuel, je n'ai toujours eu d'yeux que pour les femmes.
occupation : ($$$$$$), neurochirurgien, j'aime enter dans la tête de mes patients pour y remettre de l'ordre. Je suis un ancien médecin militaire.
situation familiale : Marié, sans enfant. J'ai un petit frère Quinn et une petit soeur Annabelle. J'ai toujours mes deux parents mais je ne suis plus en contact avec mon père depuis maintenant 11 ans.
arrivée à dublin : Je suis né à New York, mais je suis venu vivre à Dublin quand j'avais trois ans. Même si j'ai vagabondé pendant quelques années pour un voyage humanitaire et lorsque j'étais la navy seals. Je suis toujours revenu dans cette ville qui est mienne. Luluche Ludivine 24 ans France scénario grâce à Jadounette
 golden cauldron Ambitieux ✰ Amusant ✰ Assidu ✰ Attentionné ✰ Aventureux ✰ Bon vivant ✰ Caractériel ✰ Charismatique ✰ Confiant ✰ Courageux ✰ Déterminé ✰ Direct ✰ Drôle ✰ Doux ✰ Dynamique ✰ Exigeant ✰ Esprit d'équipe ✰ Fort ✰ Fort de caractère ✰ Franc ✰ Indépendant ✰ Intègre ✰ Intelligent ✰ Intuitif ✰ Mystérieux ✰ Observateur ✰ Optimiste ✰ Ouvert d'esprit ✰ Romantique ✰ Persévérant ✰ Protecteur ✰ Réfléchi ✰ Sérieux ✰ Solide ✰ Spontané ✰ Colérique ✰ Compétitif ✰ Compliqué ✰ Impulsif ✰ Irritable ✰ Jaloux ✰ Possessif ✰ Perfectionniste ✰ Têtu. Quel est ton mythe irlandais favori ? Macha, la déesse aux trois légendes. Ces trois légendes sont : L'amour, la guerre et la mort. Ce sont trois symboles qui ont marqués ma vie et qui resteront gravés à jamais.
Dublin est-il ton home sweet home ? Après avoir vécu au Cambodge pour un voyage humanitaire et pas mal voyagé pendant mes années militaires, je suis toujours resté à Dublin. Cette ville est mon point d'encrage sur cette terre.
(un) Né aux USA mais épanouis en Irlande, ces deux villes si différentes, dans presque même deux mondes différents sont mes deux patries. Pourtant séparés par une étendue d'eau appelée océan Atlantique, c'est à New York et Dublin que sont mes racines. Je suis l'ainé d'une fratrie de trois enfants. Après moi vient Annabelle, ma soeur de 5 ans de moins que moi et Quinn que mes parents ont adoptés quand il avait 5 ans. Ils sont les deux personnes les plus importantes à mes yeux. Élevés dans une famille soudée, aimante et inspirante, nous n'avons jamais manqués de rien. Ma mère, Mary est assistante juridique pour la firme dont mon père, Jacob, est PDG : Callaghan Industry, une grande entreprise pharmaceutique affilié à Merck&Co aux USA. A l'âge de 13 ans, j'idolâtrais mon père, voulant lui ressembler. Il voyait en moi un leader, le meneur de la famille. Je ne me destinais pourtant pas à être celui qu'il aurait voulu.(deux) Le lycée à été pour moi la découverte d'un autre monde. Le monde de l'amusement et de l’insouciance. Même si j'étais un élève assidu, j'ai découvert l'alcool et le sexe à l'âge de 15 ans et ma vie de petit garçon à totalement changé. Je n'étais pas spécialement un grand dragueur mais j'aimais bien regarder de partout. C'est d'ailleurs à cette époque que j'ai rencontré ceux qui deviendraient mes meilleurs amis : Isaac, Emmet et Eileen. Ils ont toujours été la pour moi, même avec l'histoire qui va suivre .. On a fait les 400 coups ensemble, des bêtises les plus innocentes aux conneries un peu plus graves. On a voyagé ensemble aux USA dans la maison de mes parents à New York mais aussi en France, en Espagne, en Italie. On aimait la liberté que la jeunesse nous offrait. (trois) C'est aussi à cette époque que j'ai rencontré Megan, celle qui deviendrait la femme de ma vie. Ça a été un véritable coup de foudre entre nous. Une décharge électrique qui m'a paralysé le temps que la prunelle de mes yeux ne s'habitue à la femme magnifique qui me faisait face. Elle était pour moi la huitième merveilles du monde. Elle était la première qui faisait battre mon coeur si fort et dans une mélodie qui, sur un air de Lalaland, faisait danser notre amour. A nos 17 ans, ce fût le début d'une tragique histoire d'amour. (quatre) Après le lycée, j'ai décidé de faire médecine. Ce fût un choc pour mon père qui pensais que je reprendrais la firme familiale une fois qu'il partirait à la retraite. Il a essayé tant bien que mal de me faire changer d'avis. Dispute après dispute, mon père chutait du piédestal sur lequel je l'avais mis toute mon enfance. Il ne respectait pas mes choix, il les critiquait même. Je me sentais rejeté, incompris tandis que Megan elle me soutenait contre vent et marré. Je l'avais déçu autant qu'il m'avait blessé. Une sorte de rupture s'ensuivit, et une tension permanente s'installa. J'étais devenu un mauvais fils alors que je me destinais à sauver des vies humaines moi aussi. (cinq) Un an après, je proposais à Megan de vivre avec moi. Elle accepta et petit à petit nous construisîmes notre petit nid douillet. On avait des tas de projet, on voulait aller vivre aux USA, faire cinq enfants, nous marier au bord d'une plage et aller au restaurant tous les vendredi. On voulait aussi faire le tour du monde en voilier, acheter un vignoble en France et se réveiller en Toscane. Des envies pleins la tête et peu de temps pour les vivre. Le père de Meg mouru un mois après notre emménagement, overdose de cocaïne, poudre blanche qu'il pratiquait trop souvent .. (six)Comme premier stage en médecine, je décidais de partir au Cambodge pour une année d'aide humanitaire. Ce fût une expérience riche en émotion. Voir la misère de ce peuple, la souffrance et le peu de moyen me brisa le coeur tout en renforçant mon envie de faire ce métier. Je voulais aider les autres comme j'avais pu le faire ici. Soigner ce petit enfant malade, aider ce vieillard à partir en paix, apporter un soutien à cette mère en souffrance. De retour à Dublin, je fus plus solide, plus grand. Déterminé a devenir médecin plus que jamais.(sept) A 23 ans, presque résident en médecine, je décidais de passer un capte cette fois-ci dans ma vie d'homme et de demander celle qui partageait ma vie depuis maintenant six ans, de devenir ma femme. Un soir sur le Ha'penny Bridge, je décidais de lui demander sa main, sans bague ni aucune préparation. C'était spontané, ça venait du plus profond de mon coeur. Un an plus tard, je voudrais qu'elle devienne ma femme, Megan Callaghan.(huit) Le samedi 18 août 2006 aurait dû être le plus beau jour de ma vie et ce fût le pire. Les larmes me montent encore aux yeux quand je fais l'erreur de penser à cette tragique journée. Moi j'étais à l'église, attendant que la merveilleuse femme qu'était Megan, qui serait bientôt mienne me rejoigne. Elle, elle était dans la limousine de mon père qui les conduisait à notre mariage. Mon père avait tenu à conduire la voiture et à l'emmener devant l'autel, comme son propre père n'était pas présent. Il fallut une seconde d'inattention, une seule seconde pour que nos vies bascules. Un accident de la route est vite arrivée. Mon père s'en sorti avec une commotion cérébrale et deux côtes cassées et Megan elle, décéda sur le coup. Rapide, furtif, sans douleur .. pour elle .. (neuf) Les mois qui ont suivi ont été insupportables. La douleur de son absence ne faisait que grandir, encore et encore. Je finissais par rêver éveillé. J'imaginais qu'elle allait passer la porte de notre appartement et que tout ça ne serait qu'un cauchemar mais non, c'était bel et bien réelle, Megan était morte et elle ne reviendrait jamais. J'ai commencé à boire un peu et puis un jour j'ai dit stop. Après presque six mois de dépression, le coeur engourdit et l'âme vide, je me suis dit qu'elle ne voudrait pas ça pour moi. Même si je n'aimerais sans doute plus jamais aucune femme, je lui devais au moins ça, de vivre et aller au bout des rêves qu'elle m'avait aidé à réaliser. J'ai vendu notre appartement et j'en ai pris un plus grand. J'ai passé une annonce de colocation et après plusieurs mois j'ai trouvé la perle rare. Une jeune femme du nom de Joyce. Fraiche, marrante et avait cet air brisé que je reconnaissais parce que j'avais le même. Le feeling est tout de suite bien passé. Je pouvais me concentrer sur mes études. Pour mon externat, j'ai décidé de partir aux USA, mon autre patrie. Et je me suis engagé pour cinq ans dans l'unité médicale des Neavy Seals. Une nouvelle vie m'attendais.(dix) Pendant trois ans, j'ai navigué entre les USA et l'Irlande. En opex en afghanistan, en Israël et même en Iran, je rentrais pendant deux mois à Dublin et je repartais pour 4, 6 ou sept mois de mission. Quand je rentrais je n'étais pas seul, Joyce était là. Au début un peu timide entre nous, on ne se connaissait pas beaucoup. On a apprit à vivre ensemble le temps où j'étais là. Ca a commencé par un plat de spaghetti partagé, puis un cinéma, un pique nique, un restaurant. J'ai commencé à comprendre que la belle blonde ne me laissait pas indifférent quand elle a ramené un mec une nuit à l'appartement. Un mélange de colère et de déception s'était immiscé en moi. Je l'avais géré de façon totalement stupide.. J'avais moi aussi ramené des filles dans mon lit, essayant de leur faire faire le plus de bruit possible. C'était devenu comme une compétition complètement stupide entre Joyce et moi. Parallèlement à cette bataille puéril, je m'étais rendu compte qu'elle disparaissait souvent certains soirs de la semaine. J'avais alors décidé de la suivre et ce que j'avais vu ne m'avait pas plu .. Je venais de comprendre comment Joyce payait le loyer. Elle était strip-teaseuse. Elle vendait son corps pour habiter dans un endroit descend et avoir une vie descente. Je suis repartie en opex et à la permission d'après je suis retourné dans ce club. J'ai demandé une danse spéciale avec elle et la honte que j'ai lu toute la honte du monde dans ses yeux quand elle est arrivée à moitié nue dans la petitepièce tamisé d'une lumière à vomir. Je l'ai couverte de ma veste et j'ai payé pour toutes les heures qu'il restait à son service. 4h heure de répits. C'est ce que je pouvais lui offrir. Je devais repartir pour les états-unis le lendemain. Ce que je ne fis jamais. Ma place était ici, auprès d'elle à présent.(onze) J'ai continué mon externat a Dublin, étant parti de l'armée américaine. Et pendant un an j'ai tout donné à cet ange qui était entré dans ma vie : Joyce. J'ai tout fait pour la sortir de ce club, ce milieu de vice et presque de prostitution. J'ai tout fait pour la protéger, lui offrir une vie qu'elle méritait. Et plus les jours passaient, plus ses larmes coulaient, plus elle me souriait et plus je tombais amoureux d'elle. Elle était mon salut, cette partie de la vie qui te montre que rien n'est perdu, rien n'est mort, tout renait. Elle était mon phœnix, ma renaissance. Cette année avec elle m'en a apprit plus sur elle certes, mais sur moi aussi et je ne m'étais jamais senti aussi heureux et complet depuis le départ de Megan.(douze) Je pense qu'aucun de nous deux ne s'attendait à vivre une telle année. L'année qui s'était écoulée avait été pleine de nouveauté. Joyce avait quitté cette infâme boîte de strip-tease. Je la sentais plus heureuse même si ça n'avait pas été si simple. L'un comme l'autre on avait vécu des choses difficiles, on avait perdu l'amour de notre vie, on était brisé, seul, on avait l'impression d'errer sans but dans un monde qui n'était pas le notre. Ça nous avait beaucoup rapproché et un soir après avoir bien bu j'avais fini par lui avouer à quel point elle avait pu me rendre jaloux quand elle ramenait des hommes ici. A un tel point que j'avais tout donné pour que certaines crient assez fort pour que ça la dérange. Et après cette confession qui ne semblait pas l'avoir effrayé, je m'étais hasardé à poser mes lèvres contre les siennes. Il ne s'était rien passé de plus pour la soirée et dans la nuit, nous nous étions retrouvés dans le salon et avions passé la nuit la plus torride de toute ma vie, là sur le canapé du salon, comme si nous avions déjà fait ça des centaines de fois. (treize) Après cette nuit là, il y en avait eu tant d'autres. On avait doucement commencé à se faire à l'idée qu'il y avait clairement quelque chose entre nous, plus que sexuelle. Et d'un comme un accord tacite, on avait décidé de se laisser une chance. Une chance qui se transforma en un bonheur absolu. Joyce était tout ce qui manquait à ma vie. Elle me soutenait comme j'en avais besoin, elle était aimante et dévouée. Une femme de caractère, forte et fragile à la fois. Une femme que j'avais envie de pousser à vivre ses rêves et à garder jalousement pour moi. Elle était la seule avec laquelle je ressentais ce besoin de protection. Mes années Neavy Seals n'avaient pas été les plus simples. J'avais vu et subit des choses qui me laisserait une marque au fer rouge toute ma vie. Joyce était la seule qui arrivait encore à toucher mon âme et mon corps de cette façon. (quatorze) Le stade qui devait suivre après cette fantastique année avec elle, c'était celui du mariage. J'avais 30 ans et elle 28 ans. On était grand, on était adulte, assez pour savoir que la vie ne dure pas une éternité. Il faut savoir saisir toutes les opportunités, savoir que c'est toujours le moment de reprendre sa vie et de la rendre meilleure. Joyce rendait la mienne tellement meilleure que je voulais la faire mienne pour la fin de la notre. Mais je ne suis pas ce genre d'homme qui invite sa petite amie dans un restaurant cinq étoiles, après une balade sur le bord de la plage et qui l'a demande en mariage avec une grosse bague qui coûte plus cher que son propre appartement. Je suis quelqu'un de spontané, je fais les choses avec mon coeur, pas mon porte-monnaie. Alors un soir, après avoir avalé une pizza devant un film sur ce canapé qu'on avait tant exploité, je lui ai demandé de m'épouser. Comme ça, sans préparation juste parce qu'en plongeant mes yeux dans les siens, je savais que je voulais passer ma vie avec cette femme. Certains diront que je lui ai sauvé la vie de mon point de vue, c'est elle qui m'a sauvé. (quinze) Si je devais faire un bilan de ma vie, je dirais que malgré mon assez jeune âge, j'ai vécu pas mal de drame. La mort d'un être cher, cette tension perpétuelle avec mon père que je ne peux ne peux m'empêcher de tenir responsable de la mort de Megan, toutes ces atrocités, cette souffrance et ces morts que j'ai pu voir au Cambodge mais aussi à l'armée .. Mais j'ai aussi vécu des choses exceptionnelles. Je suis tombé deux fois amoureux. J'ai été aimé aussi. J'ai épousé la plus merveilleuse des femmes et surtout je suis vivant. Je fais le métier que j'ai toujours voulu faire, je sauve des vies et je remercie dieu d'avoir préservé la mienne. my crazy lifestyle „ Never be ashamed of who you are “
Dernière édition par Aaron Callaghan le Mer 10 Jan - 17:19, édité 17 fois |
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