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Tag boyfriend sur DIRTY OLD TOWN. S6QJA7DSujet: dusk till dawn // haz.
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Rechercher dans: You gave up I grew up   Tag boyfriend sur DIRTY OLD TOWN. EmptySujet: dusk till dawn // haz.    Tag boyfriend sur DIRTY OLD TOWN. EmptyDim 10 Déc - 12:24
haz donnellyfeat avatar
will you be able to catch the leprechaun ? he's waiting for you.

identité : harry donnelly, surnom haz.

naissance : 25 décembre, à dublin. bientôt 26 ans.

origines : irlandais et anglais.

statut : marié à opale, secrètement en couple avec son frère. (elle est au courant). homosexuel.

occupation : ($$$$$$), infirmier anesthésiste

situation familiale : aîné d'une grande fratrie, un père chirurgien et homophobe. une mère femme au foyer.

arrivée à dublin : il y est depuis toujours.

borné; intelligent; aimant; fidèle; bon menteur; oreille attentive; rancunier; plus sensible qu'il ne le laisse paraître; franc; sincère; doux avec ceux qu'il aime; protecteur; jaloux; possessif; souvent vulgaire; accusateur (surtout avec son père); sociable; méticuleux.
les rps en cours.2
(un) fumeur, tu as commencé il y a une petite dizaine d'années. tu piquais sans honte les paquets de ton père qui s'époumonaient dans la maison pour savoir qui osait lui faire affront. et bien, c'était toi. petit voleur arrogant, sa clope au bec et ses cheveux en bordel. tu t'es caché pendant longtemps, alors que tu te contentais d'une clope ou deux devant les grilles du lycée. et tu masquais tant bien que mal l'odeur de la fumée sur tes fringues, parce que sans doute que t'aurais jamais passé ta majorité si ton père avait appris que tu fumais déjà comme un pompier à l'époque. aujourd'hui, t'as un peu diminué ta consommation, mais tu fumes toujours autant, la fumée dans les poumons et les doigts tremblant d'un stress contenu quand tu dois te rendre à des repas de familles. c'est un truc comme un autre pour décompresser et dans un sens, tu préfères te pourrir la vie en t'enfumant qu'en t'éclatant les veines à coup d'aiguilles. c'est pas pour toi ça et t'en ai bien conscient. alors si tu dois crever un jour, ce sera sans doute d'un cancer des poumons. (deux) quand tu étais enfant, tu entendais sans cesse ton père rabâcher que tu serais comme lui plus tard; un grand chirurgien. mais toi, ça ne te convenait pas. aucune de ses décisions ne t'a jamais convenue. t'as l'impression qu'il y a un faussé entre lui et toi et le pire a été quand tu lui as annoncé vouloir devenir infirmier. un simple infirmier. pion comme un autre dans le balai de l’hôpital. ça ne lui a pas plu. et toi, tu n'as jamais voulu être chirurgien. et tu n'as pas lâché l'affaire, tu as tenu bon face à lui et tu as fait les études que tu désirais. aujourd'hui t'es parfaitement épanouis en tant qu'infirmier récemment formé à être infirmier anesthésiste. et les seuls moments qui te font parfois douter sont ceux, ou tu te retrouves face à ton père et son regard accusateur dans le bloc des urgences de l'hôpital. tu détestes devoir te retrouver dans la même salle que lui et sentir son regard épier chacun de tes mouvements. mais tu n'as pas vraiment le choix. et tu prends sur toi pendant une heure ou deux. (trois) t'as rencontré esther et opale quand t'étais tout gamin. sur les bancs de la crèche sans doute. tu es incapable de dire depuis combien de temps exactement vous vous connaissez. ce qui est certain, c'est qu'il s'agit de tes deux meilleures amies et que tu ne pourrais clairement pas vivre sans elles. un peu comme des sœurs, vous formez un trio inséparable qui a su traverser les années et les épreuves. et voilà qu'aujourd'hui vous êtes toujours aussi inséparables, seule petite ombre au tableau; la comédie que tu joues avec opale, maintenant devenue ta femme. c'est pas beau d'mentir. (quatre) au fond, t'as toujours su que t'avais une préférence pour les hommes. que t'étais homosexuel. ça a toujours été une évidence, sérieusement. et pourtant t'as eu du mal, t'as eu peur alors que t'étais ado. peur de la réaction de ton père quand il le découvrirait. alors tu t'es caché, t'as simplement fait comme si n'était anormal. et puis y'a eu les premières expériences et le ramener chez toi en prétendant que c'était un ami, ce n'était pas une bonne idée. clairement pas. parce que, clairement, tu te serais bien passé des hurlements de ton père alors que la porte s'est ouverte et qu'il était penché sur toi, vos lèvres liées, vos corps intimement collés l'un à l'autre. t'aurais préféré éviter les cris et la claque que tu t'es prise sans trop comprendre. t'aurais préféré éviter le scandale et ton père qui te menace de te foutre à la porte si tu ne stoppes pas tes conneries tout de suite. pour lui, c'était qu'une passade, une erreur d'ado que t'as réparé depuis le temps. (cinq) t'as essayé, d'être hétéro. t'as vraiment essayé. aimer les femmes. mais non, c'était juste pas possible. juste impossible. t'es pas hétéro toi. t'es juste gay. tu ne bandes pas pour les seins. t'supportes pas de voir une meuf à poil. et pourtant. pourtant, aujourd'hui, t'es marié à un femme, couple si parfait en apparence. opale est ta meilleure amie. elle t'a sorti des emmerdes et tu ne la remercieras jamais assez. parce que ce mariage, ça te permet de cacher. cacher que t'es en couple, ouai, mais pas avec opale. c'est son frère, sur qui t'as craqué. et ça peut paraître malsain, même toi, tu sais pas trop comment voir tout ça. mais, bordel que tu l'aimes, bordel que t'as pas envie que ça s'arrête. et c'est grâce à opale que ça peut arriver. pour le moment. (six) ça fait des années que t'as pas été dans une courbe de poids normale. constamment en dessous. quelques kilos qui te manquent, mais pas tant que ça. les médecins ont tendance à dire que c'est à cause du stress de ton métier et te conseillent de te reposer un peu, mais toi, tu sais que ce stress il vient d'autre part. la peur d'être découvert, la peur de voir ton père débarquer parce qu'il s'est rendu compte du mensonge. il vient de la, le stress. ça fait longtemps qu'ils sont partis, les kilos qu'il te manquent. et sans doute qu'ils ne reviendront pas de si tôt. (sept) tu aimes cuisiner. c'est quelque chose qui t'a toujours plus, alors que tu profitais des gardes de ton père pour aider ta mère derrière les fourneaux. et elle t'a transmis une de ses passions. aujourd'hui encore, tu aimes cuisiner pour des occasions particulières ou tout simplement pour déjeuner. alors tu ne te prives pas. dans l'appartement que tu partages avec opale, t'as tout le loisir de cuisiner sans qu'on vienne te prendre les pieds parce que c'est trop féminin, parce que c'est censé être à la femme de la maison de le faire. t'es pas de cet avis, et encore une fois, tu sais pas comment ton père peut être ton père tant tu ne lui ressembles pas. (huit) insomniaque depuis tes plus tendres années, les gardes de nuit à l'hôpital ne t'on jamais réellement dérangée. et t'es toujours plus ou moins cerné et avec une gueule d'enterrement, mais ton entourage a terminé par s'y habituer et ne pas se fier, tandis que t'es capable d'une énergie folle quand t'es à l'hôpital. tu dors pas et tu t'épuises. tu sais que ça va te porter préjudice, mais pour le moment, tu t'en fiches bien, préférant te consacrer à ta carrière qu'à ta santé. malgré ce qu'on te rabâche constamment. et tu sais que ça inquiète ton homme, tu sais que ça inquiète opale, et ta mère, et tes frangines. mais tu ne comptes pas te poser. pas encore. (neuf) t'es tatoué à plusieurs reprises. et t'as jamais voulu révélé à qui que ce soit la signification de tes tatouages. un secret de plus ou de moins dans ta vie, ça ne change pas grand chose, au fond. t'as commencé alors que t'étais à peine adulte. dix-huit ans et l'encre déjà ancrée dans ta peau. t'y a réfléchis longuement, étant bien conscient que c'était pour la vie. mais t'as jamais regretté, malgré ce qu'ils disaient, tes parents. et tu n'es que trop heureux de voir ton père en enrager encore aujourd'hui, parce que t'as eu le courage de dire merde et de faire ce que toi, tu voulais faire et pas ce que lui, voulais faire de toi. toujours plus de rébellion. (dix) tu fais du skate depuis quelques années. à la base, c'était juste pour déconner, avec ton petit frère, tu l'as accompagné pour fuir les discussions ennuyantes de tes parents. et t'es un peu tombé en amour face à cette discipline. et quand t'as le temps - rarement - t'aimes bien sortir avec une planche vieillotte et retrouvée dans le fond du garage. ça t'es arrivé plus d'une fois de te retrouver au sol, mais t'aimes bien, c'est un moyen de décompresser de cette vie un peu trop merdique par moment et bien trop belle à d'autres. t'as parfois du mal à jongler avec toutes ces sensations et t'as besoin d'un peu de temps pour toi.
my crazy lifestyle
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„ Never be ashamed of who you are “
Tag boyfriend sur DIRTY OLD TOWN. S6QJA7DSujet: don't you worry child // haz.
Invité

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Rechercher dans: you're welcome in dublin   Tag boyfriend sur DIRTY OLD TOWN. EmptySujet: don't you worry child // haz.    Tag boyfriend sur DIRTY OLD TOWN. EmptyVen 8 Déc - 18:25
harry donnellyfeat ben nordberg
will you be able to catch the leprechaun ? he's waiting for you.

identité : donnelly, le nom de ton père, que tu détestes par moment. tu n'as eu d'autre choix que d'en hériter à ta naissance et de devoir l'assumer au quotidien. poids parfois trop lourds pour les épaules d'un gosse, alorq que tu tentais encore de rentrer dans le moule il y a quelques années. aujourd'hui, ce nom, tu l'emmerdes, et t'as réellement envie de faire ce que tu veux de ta vie. mais tu préfères tout prendre sur tes épaules plutôt que de laisses ton frère cadet tout subir si ton père en venait à te renier. harry, un prénom anglais qui te viens de ta très chère mère, bien trop attachée à son pays de naissance que pour ne pas donner un prénom so british à son premier enfant et, qui plus est, son premier fils. c'est donc harry que tu portes fièrement - ou pas - et qui ne reflète que trop bien tes origines. tu préfères sans l'ombre d'un doute le surnom qu'on te donne depuis toujours, haz sonne bien mieux à tes oreilles et beaucoup moins prétentieux.

naissance : tu es né un certain vingt-cinq décembre, nuit de fête, cadeau inattendu. premiers cris encourageant et des parents comblés de bonheur. c'est dublin qui t'as vu naître et grandir, tandis que cette ville te surveilles depuis tes plus tendres années. t'as vingt-cinq ans. le quart de siècle, une vie déjà bien entamée dont tu n'as pas su profiter. vingt-cinq années qui pèsent déjà sur tes épaules, que tu n'as pas vu défiler, parce que tu n'as pas su en profiter. t'es jeune encore, qu'on te dit souvent. et pourtant t'as l'impression d'avoir dix années de plus à te regarder, toi et ta soi-disant vie parfaite. t'as vingt-cinq piges et bientôt vingt-six, mais l'esprit de rébellion d'un adolescent de seize ans à peine. le visage marqué de la peine quelque peu endurée il y a quelque temps et d'un désir de liberté qui se fait de plus en plus pressent.

origines : si papa est tout ce qu'il y a de plus irlandais et aime s'en vanter de temps à autre, quand ça lui prendre, quand il a besoin de montrer qu'il est supérieur aux autres d'une quelconque manière, alors t'entends sans cesse ce discours et cette histoire de sang complètement débile. merde, c'est son sang qui est censé couler dans tes veines et ça t'as pas empêché d'être un pd alors qu'il les a en horreur. et pourtant, il n'est fier de vous qu'à moitié. le sang anglais de maman qui vient contrebalancer la connerie paternelle. et t'es heureux de ces origines anglaises, de londres la belle qui brille dans les prunelles de ta mère, de toute cette famille à l'autre bout du pays que tu rêves d'aller rencontrer et de ne plus jamais quitter. ils ne pourront être que plus tolérants que ton père. en même temps, c'est pas très compliqué.

statut : la bague au doigt, la corde au cou. marié, pour le meilleur, mais surtout pour le pire. charmante épouse. couple parfait qui dure depuis cinq ans déjà. un si bel album de mariage, un voyage futile et ennuyeux. ce n'est qu'un mensonge, une vaste blague, un stratagème pour remonter dans l'estime de ton père, devenir l'homme qu'il voulait que son fils soit. ce mariage, ce n'est qu'une prison pour toi, un cage qui t'étouffes et qui t'empêches de respirer. t'es marié, mais ta bague te brûle, tu ne supportes pas de la porter, alors tu l'enlèves, la glisse dans une poche de son sac ou de ta veste et tu fais comme si elle n'existait pas. elle fait pareil, de toute manière, ta femme. ce n'est qu'un vulgaire commun accord pour dissimuler que c'est avec son frère, que tu sors. c'est de lui, que t'es amoureux, pas d'elle. c'est malsain, comme relation, mais elle a acceptée de vous aider. elle joue le jeu. toi aussi, tu joues. et tu vas sans doute terminer pas te brûler. avant ça, tu te contentes simplement de jouer avec les apparences et te soucies guère des lits dans lesquels elle passe ses nuits. t'es gay, toi. ça fait des années et des années que tu le sais. t'avais seize ans quand tu l'as découvert. t'en avais dix-sept quand c'est ton père qui l'a découvert et qu'il t'a forcé à ne plus l'être. foutaises. conneries. tu l'as écouté. t'étais bien trop con à l'époque, bien trop idiot pour te rebeller, pour dire non, pour gueuler un coup et dire merde. non. ce n'était pas acceptable. tu étais encore sous l'autorité parentale et c'était sans doute ça, ou terminer à la porte, terminer dans la rue sans rien. alors t'as essayé de te persuader, que t'aimais les femmes. mais t'as jamais réussis à en toucher une. t'as jamais réussi à éprouver du désir pour une demoiselle. il n'y a que les hommes qui te font vibrer et surtout, un homme en particulier.

occupation : ($$$$$$), infirmier anesthésiste, papa a hurlé quand tu as annoncé que tu ne ferais pas médecine comme il l'aurait tant voulu. papa est chirurgien. papa est un grand chirurgien. et papa aurait voulu que son fils prenne le même chemin. mais t'as pas eu le courage d'arriver à ce stade, sachant très bien que, de toute manière, tu n'aurais jamais pu être à la hauteur de ton paternel. alors t'as d'abord été infirmier, restant tout de même dans le domaine de la santé pour ne pas trop faire criser le père. (parce qu'honnêtement, t'aurais pu faire des études de lettres que ça t'aurais pas forcément dérangé) et il y a peu, tu t'es spécialisé en tant qu'infirmier anesthésiste, n'aimant que trop l'adrénaline que ça te procures et cette impression d'évasion. tu restes concentré sur ton job et t'oublies ta vie le temps d'une garde ou d'une autre. et même si t'es crevé en rentrant à la maison, t'es bien contant d'faire ce job. sauf les jours où tu croises ton paternel au bloc opératoire, ceux-là, tu t'en passerais bien.

situation familiale : aîné d'une famille bien trop nombreuse sous le joug du paternel donnelly. chirurgien aux chevilles bien trop enflées et aux convictions venues tout droit du moyen-âge. avare de compliment et ouvertement homophobe. maman est plus douce avec ses enfants, mais reste bien trop effacée face à papa. femme au foyer qui s'est consacrée à l'éducation de ses enfants. et puis y'a les frères et sœurs, ceux que tu veux protéger de votre père, ceux que t'as envie d'aider, mais tu sais pas comment faire. famille bordélique, les donnelly. famille désunie, les cris retentissent, les secrets s'accumulent et les non-dits se bousculent. et un jour, tout ça va exploser. et les conséquences seront sans doute plus désastreuses que prévues.

arrivée à dublin : t'es né ici, t'es jamais partit et pourtant, ce n'est pas l'envie qui t'en manque. tu n'as jamais connu que dublin et cette ville, c'est un peu comme une partie de toi-même. t'es pas certain d'oser partir un jour et te barrer en angleterre, vivre ta vie comme tu l'entends. mais non. tu restes la. tu bouges pas.
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