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Tag lgbt sur DIRTY OLD TOWN. S6QJA7DSujet: don't you worry child // haz.
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Rechercher dans: you're welcome in dublin   Tag lgbt sur DIRTY OLD TOWN. EmptySujet: don't you worry child // haz.    Tag lgbt sur DIRTY OLD TOWN. EmptyVen 8 Déc - 18:25
harry donnellyfeat ben nordberg
will you be able to catch the leprechaun ? he's waiting for you.

identité : donnelly, le nom de ton père, que tu détestes par moment. tu n'as eu d'autre choix que d'en hériter à ta naissance et de devoir l'assumer au quotidien. poids parfois trop lourds pour les épaules d'un gosse, alorq que tu tentais encore de rentrer dans le moule il y a quelques années. aujourd'hui, ce nom, tu l'emmerdes, et t'as réellement envie de faire ce que tu veux de ta vie. mais tu préfères tout prendre sur tes épaules plutôt que de laisses ton frère cadet tout subir si ton père en venait à te renier. harry, un prénom anglais qui te viens de ta très chère mère, bien trop attachée à son pays de naissance que pour ne pas donner un prénom so british à son premier enfant et, qui plus est, son premier fils. c'est donc harry que tu portes fièrement - ou pas - et qui ne reflète que trop bien tes origines. tu préfères sans l'ombre d'un doute le surnom qu'on te donne depuis toujours, haz sonne bien mieux à tes oreilles et beaucoup moins prétentieux.

naissance : tu es né un certain vingt-cinq décembre, nuit de fête, cadeau inattendu. premiers cris encourageant et des parents comblés de bonheur. c'est dublin qui t'as vu naître et grandir, tandis que cette ville te surveilles depuis tes plus tendres années. t'as vingt-cinq ans. le quart de siècle, une vie déjà bien entamée dont tu n'as pas su profiter. vingt-cinq années qui pèsent déjà sur tes épaules, que tu n'as pas vu défiler, parce que tu n'as pas su en profiter. t'es jeune encore, qu'on te dit souvent. et pourtant t'as l'impression d'avoir dix années de plus à te regarder, toi et ta soi-disant vie parfaite. t'as vingt-cinq piges et bientôt vingt-six, mais l'esprit de rébellion d'un adolescent de seize ans à peine. le visage marqué de la peine quelque peu endurée il y a quelque temps et d'un désir de liberté qui se fait de plus en plus pressent.

origines : si papa est tout ce qu'il y a de plus irlandais et aime s'en vanter de temps à autre, quand ça lui prendre, quand il a besoin de montrer qu'il est supérieur aux autres d'une quelconque manière, alors t'entends sans cesse ce discours et cette histoire de sang complètement débile. merde, c'est son sang qui est censé couler dans tes veines et ça t'as pas empêché d'être un pd alors qu'il les a en horreur. et pourtant, il n'est fier de vous qu'à moitié. le sang anglais de maman qui vient contrebalancer la connerie paternelle. et t'es heureux de ces origines anglaises, de londres la belle qui brille dans les prunelles de ta mère, de toute cette famille à l'autre bout du pays que tu rêves d'aller rencontrer et de ne plus jamais quitter. ils ne pourront être que plus tolérants que ton père. en même temps, c'est pas très compliqué.

statut : la bague au doigt, la corde au cou. marié, pour le meilleur, mais surtout pour le pire. charmante épouse. couple parfait qui dure depuis cinq ans déjà. un si bel album de mariage, un voyage futile et ennuyeux. ce n'est qu'un mensonge, une vaste blague, un stratagème pour remonter dans l'estime de ton père, devenir l'homme qu'il voulait que son fils soit. ce mariage, ce n'est qu'une prison pour toi, un cage qui t'étouffes et qui t'empêches de respirer. t'es marié, mais ta bague te brûle, tu ne supportes pas de la porter, alors tu l'enlèves, la glisse dans une poche de son sac ou de ta veste et tu fais comme si elle n'existait pas. elle fait pareil, de toute manière, ta femme. ce n'est qu'un vulgaire commun accord pour dissimuler que c'est avec son frère, que tu sors. c'est de lui, que t'es amoureux, pas d'elle. c'est malsain, comme relation, mais elle a acceptée de vous aider. elle joue le jeu. toi aussi, tu joues. et tu vas sans doute terminer pas te brûler. avant ça, tu te contentes simplement de jouer avec les apparences et te soucies guère des lits dans lesquels elle passe ses nuits. t'es gay, toi. ça fait des années et des années que tu le sais. t'avais seize ans quand tu l'as découvert. t'en avais dix-sept quand c'est ton père qui l'a découvert et qu'il t'a forcé à ne plus l'être. foutaises. conneries. tu l'as écouté. t'étais bien trop con à l'époque, bien trop idiot pour te rebeller, pour dire non, pour gueuler un coup et dire merde. non. ce n'était pas acceptable. tu étais encore sous l'autorité parentale et c'était sans doute ça, ou terminer à la porte, terminer dans la rue sans rien. alors t'as essayé de te persuader, que t'aimais les femmes. mais t'as jamais réussis à en toucher une. t'as jamais réussi à éprouver du désir pour une demoiselle. il n'y a que les hommes qui te font vibrer et surtout, un homme en particulier.

occupation : ($$$$$$), infirmier anesthésiste, papa a hurlé quand tu as annoncé que tu ne ferais pas médecine comme il l'aurait tant voulu. papa est chirurgien. papa est un grand chirurgien. et papa aurait voulu que son fils prenne le même chemin. mais t'as pas eu le courage d'arriver à ce stade, sachant très bien que, de toute manière, tu n'aurais jamais pu être à la hauteur de ton paternel. alors t'as d'abord été infirmier, restant tout de même dans le domaine de la santé pour ne pas trop faire criser le père. (parce qu'honnêtement, t'aurais pu faire des études de lettres que ça t'aurais pas forcément dérangé) et il y a peu, tu t'es spécialisé en tant qu'infirmier anesthésiste, n'aimant que trop l'adrénaline que ça te procures et cette impression d'évasion. tu restes concentré sur ton job et t'oublies ta vie le temps d'une garde ou d'une autre. et même si t'es crevé en rentrant à la maison, t'es bien contant d'faire ce job. sauf les jours où tu croises ton paternel au bloc opératoire, ceux-là, tu t'en passerais bien.

situation familiale : aîné d'une famille bien trop nombreuse sous le joug du paternel donnelly. chirurgien aux chevilles bien trop enflées et aux convictions venues tout droit du moyen-âge. avare de compliment et ouvertement homophobe. maman est plus douce avec ses enfants, mais reste bien trop effacée face à papa. femme au foyer qui s'est consacrée à l'éducation de ses enfants. et puis y'a les frères et sœurs, ceux que tu veux protéger de votre père, ceux que t'as envie d'aider, mais tu sais pas comment faire. famille bordélique, les donnelly. famille désunie, les cris retentissent, les secrets s'accumulent et les non-dits se bousculent. et un jour, tout ça va exploser. et les conséquences seront sans doute plus désastreuses que prévues.

arrivée à dublin : t'es né ici, t'es jamais partit et pourtant, ce n'est pas l'envie qui t'en manque. tu n'as jamais connu que dublin et cette ville, c'est un peu comme une partie de toi-même. t'es pas certain d'oser partir un jour et te barrer en angleterre, vivre ta vie comme tu l'entends. mais non. tu restes la. tu bouges pas.
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