| | (theobald) Just to say something real | | |
| | (theobald) Just to say something real Sam 9 Déc - 12:44 |
| Theobald Griffinfeat Harvey Newton Haydon will you be able to catch the leprechaun ? he's waiting for you. identité : Theobald Austin Griffin
naissance : 26 février 1991, à Dublin. Sa ville, sa terre, ses origines, ceux des siens, de sa jumelle, de sa mère, de cette famille qui résume facilement son tout de quand il était gamin.
origines : Irlandais jusqu'au bout des ongles, ses origines transpirent avec passion de tout son être. Reflets roux dans ses mèches brunes, peau pâle, il aime s'affubler d'un chapeau qui, s'il était vert, rappellerait celui d'un leprechaun.
statut : Officiellement célibataire, secrètement en couple, homosexuel assumé prisonnier d'une situation qui le dévore de l'intérieur.
occupation : ($$$$$$), Tatoueur pour payer le loyer, son véritable désir serait de vivre de ses peintures.
situation familiale : Un père décédé peu après la naissance de sa jumelle et lui, une mère qui a pris soin d'eux, les a élevé sans jamais demander d'aide à qui que ce soit. Les jumeaux n'ont jamais manqué de rien.
arrivée à dublin : Il y est né, il y mourra sans doute. Peut-être. Le palpitant arraché, piétiné bien avant.spf 'rine majeure france scénario grâce à bazzart
golden cauldron Caractère : Theo c'est un mec bien, certes, il est gay, lui le gendre parfait que les filles rêveraient de présenter à leur famille. Un peu rêveur, musicien, artiste, et qui pourtant ne s'enlise pas dans sa passion, et garde les pieds sur terre. Celui qui veillera toujours sur sa sœur, celui qui aura toujours un petit geste tendre envers sa mère. Theo, c'est le gars sur qui on peut compter, celui prêt à faire des sacrifices pour ceux qu'il aime, même si ça risque de le détruire à petit feu. Quel est ton mythe irlandais favori ? Le Merrow. Ces sortes de sirènes qui sont particulières, et assez différentes des légendes des autres pays. Ces sirènes, magnifiques si femelles, hideuses si masculines, détestaient les humains, annonciateur d'horreurs, de malédiction ou de mort imminente. Theo en a déjà peint, pour le plaisir, pour l'ailleurs, pour le rien. Juste parce que l'univers la fascine.
Dublin est-il ton home sweet home ? Il y est né, y a grandi. Il aime cette ville, son pays, l'Irlande brûlant dans ses veines avec toute l'indécence des combattants d'autrefois. C'est un peu de leur passion que l'on retrouve en celui qui serait incapable de totalement tourner le dos à ses origines.
(un) Passionné, Theobald a toujours aimé l'art sous toutes ses formes, et il est lui-même artiste. Pour son plaisir, il dessine, peint des toiles, il joue de la guitare, ... Mais c'est avant tout l'âme de peintre qui grouille sous son crâne. (deux) Celle qui lui offre un échappatoire. Il gribouille sa douleur, ses tourments, cette situation merdique qui est en train de le noyer un peu plus chaque jour. Parce que ça le tue de voir Haz tenir la main de sa soeur. Ca le tue de voir ses lèvres se poser sur celles de sa jumelle. Il en crève Theo, petit à petit, sans même s'en apercevoir. Il supporte, c'est tout. Pour l'instant. (trois) La nicotine, nécessité qui lui est tombée dessus lorsqu'il était adolescent. Petit plaisir venant empoisonner ses veines et qui aujourd'hui semble être un besoin pour tenter d'endormir sa jalousie, le venin qui divague dans son sang à force de les voir ensemble. (quatre) Amoureux des justes causes, il est contre les tests sur les animaux, la fonte des glaces, etc. (cinq) Homosexualité assumée, parce que sa mère n'a jamais rien dit de mal à ce sujet, que sa jumelle l'a toujours accepté tel qu'il était. S'il ne le crie pas sur les toits, il n'en a pas honte de préférer les hommes aux femmes, de ne pas ressentir d'attirance pour les courbes trop rondes et en V. (six) Il a déjà fait mine de sortir avec une fille, les lèvres qui se collent en un baiser qui ne provoque rien. Juste un jeu, un amusement, un éclat de rire avec celle qui ne jouait à ça que pour repousser un type un peu trop collant. (sept) C'est pas difficile à croire, parce que les filles l'aiment, Theo. Il est sexy, et on craque sans difficulté lorsqu'il sourit, un peu moqueur, un peu taquin. Ca l'amuse plus qu'autre chose, parce qu'il n'a jamais été attiré par elles. Il aime flirter, pour le jeu, pour se changer les idées, pour oublier que son homme est marié à sa propre sœur. (huit) Il s'inquiète pour Haz, parce qu'il s'épuise petit à petit dans le métier qui est le sien, dans lequel il se donne à fond. C'est comme une morsure au cœur. Parce qu'il aimerait pouvoir le protéger, de peindre une bannière à la con pour une marche pour une cause auxquelles il aime tant participer. Mais c'est pas si simple, non, pas avec Haz. Ca ne l'est pas, ça ne l'a jamais été, et ça ne risque sans doute pas de l'être encore. (neuf) Il court. Comme si c'était après sa vie, sa vérité qu'il ne cessait de talonner désespérément. Il court. Le souffle saccadé lorsque les pas s'immobilisent, les mains tremblantes lorsqu'il se scrute dans le miroir. (dix) Tatoué, ces dessins qui sont les siens, ces vérités vues avec ses yeux, ces mensonges frelatées par ces lignes trop parfaites. (onze) Sa jumelle, sa sœur, son tout, un morceau de lui-même. Ils sont proches, l'ont toujours été, finissent même parfois les phrases l'un de l'autre. Il tient à elle et l'aimera toujours, quoiqu'il arrive. Il n'y a que son mariage avec Haz qui complique parfois les choses. my crazy lifestyle „ Never be ashamed of who you are “
Dernière édition par Theobald Griffin le Dim 10 Déc - 17:21, édité 43 fois |
| | | | Re: (theobald) Just to say something real Sam 9 Déc - 12:44 |
| A beautiful StoryTu n'y pouvais rien. C'était comme une rancœur qui venait empoisonner ton cœur. La pluie qui s'écoulait du ciel n'y changeait rien, elle avait beau lisser tes cheveux bruns en bataille, assombrir ces reflets qui te liaient sans cesse à Opale, ta jumelle, un morceau de toi-même. Celle qui était capable de finir tes phrases, de la même manière que tu savais le faire avec les siennes. Et c'était peut-être cela le plus difficile, de la savoir elle avec lui, à ce repas de famille auquel tu n'es pas convié, parce que l'alliance n'orne pas ton doigt, mais le sien. Ce n'était pas le bon morceau qui était lié. Ce n'était pas celui qui aurait senti son palpitant éclater à la vision d'un Haz posant un genou au sol. Ce n'était pas toi, mais ton autre qui avait senti ses doigts glisser l'anneau, puis à un autre instant l'alliance lors du mariage où tu avais dû te rendre. Réalité qui t'avait poignardé. Tu n'avais pourtant rien dit, pas même à l'instant où l'on avait posé cette question si stupide que tous les films romantiques voient se teindre d'un amour contrarié. Le tien, tu l'avais étouffé, pour Haz. Les poings serrés. L'âme morose. Tu avais bu quelques verres, les doigts de ta mère venant tapoter cette main comme si elle devinait l'impensable. Elle te connaissait trop bien, et elle n'avait pas cherché à te retenir lorsque tu avais finalement déserté dans le jardin, l'humeur irritable, la sensation d'étouffer venant comprimer ton poitrail. Un instant dans une existence. Une habitude depuis quelques temps déjà, depuis qu'il avait fallu se sacrifier pour le protéger lui, de son paternel. Raison pour laquelle, ce jour, ce n'était pas toi, mais elle.
Tu préférais oublier, ne pas y penser. Alors tu avais commencé à courir, incapable de rester enfermé dans cette pièce emplie de l'odeur de peinture, de ta dernière toile encore inachevée qui laissait éclater les tourments qui ne franchissaient jamais tes lèvres. Pièce encore chargée du dernier souvenir de l'étreinte dérobée aux ténèbres, du parfum de sa peau qui te hantait comme un spectre assoiffé, de tes lèvres s'imposant aux siennes, de tes doigts teintés qui l'avaient étreint passionnément, l'une de tes mains entrelaçant celles qui mentaient par l'absence temporaire de l'alliance. Tu cherchais l'oxygène à travers ces pas qui s'abîmaient sur l'asphalte, sous la fraicheur de cette pluie si familière à Dublin. Tu supporterais encore un temps, celui que tu parviendrais à dérober au destin. Tu lèveras la tête vers le ciel un jour de plus, tu laisseras un sourire venir maculer tes lèvres, tu charmeras une créature incapable de t'attirer réellement. Parce que malgré ce qui te dévore de l'intérieur, c'est justement ce venin qui t'empêche de t'envoler, de repousser la noyade. Tes pas ralentirent et tu te mis à marcher, simplement, les vêtements nimbés, glacés, s'agrippant à tes courbes. Un frisson vint dévorer ton dos, te rappeler que tu risquais de tomber malade. Mais tu te sentais vivant à cette seconde, comme si ainsi tout était plus supportable. Que tu n'étais plus tenté de l'appeler, de lui dire de venir. Que tu n'étais plus tenté de lui envoyer un texto qui, s'il était lu par la mauvaise personne, pourrait se retourner contre vous. Non, à la place, il lui envoya un clin d'œil, inutile et pathétique simulacre des émotions calcinées dans son poitrail. Tout en entrant dans le premier bar venu, et d'envoyer un message à quelqu'un d'autre. L'amitié pour seul recours.
Dernière édition par Theobald Griffin le Dim 10 Déc - 17:17, édité 4 fois |
| | | | Re: (theobald) Just to say something real Sam 9 Déc - 12:46 |
| Ohlalalalala la belle Jessica ! La voir sur les forums me met toujours dans un de ces états !! (Fan-girl, tout ça tout ça...) Bienvenue belle rousse J'ai hâte de voir ce que nous réserve ton personnage |
| | | | Re: (theobald) Just to say something real Sam 9 Déc - 12:53 |
| Merci beaucoup @Daisy Cavanaugh (mais elle est géniale cette actrice ) J'adore ton choix tout autant, Lea dégage une telle douceur Pour le personnage, je suis encore en grande hésitation XD |
| | | | Re: (theobald) Just to say something real Sam 9 Déc - 13:00 |
| Oh bah si on peut t'aider poulette, n'hésites surtout pas :=3: |
| | | | Re: (theobald) Just to say something real Sam 9 Déc - 13:06 |
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| | | | Re: (theobald) Just to say something real Sam 9 Déc - 13:21 |
| Jessica Je l'aime tellement! Bienvenue et bon courage pour ta fiche! |
| | | | Re: (theobald) Just to say something real Sam 9 Déc - 13:40 |
| Bienvenue sur le forum |
| | | | | | | | | | | Avalon Clarke la plume déchaînée de décembre.name : les roses noires (linda)avatar : Holland Roden (Balaclava) € : 702 posts : 498 joker : 1 âge : 27 annéesmétier : Tu bosses à temps partiels dans un magasin de vêtements pour homme pour aider à financer les études que tu suis en parallèle. Sans compter que chaque samedi et dimanche soir, tu animes une chronique sur les mythes et légende dans une petite radio local.Côté coeur : Célibataire ? En couple ? La ligne est mince lorsque les mots ne sont plus présent dans une relation. Vous pouvez vous penser encore en couple alors que votre soi-disant moitié préfère s'amuser entre les cuisses d'une autre. Si seulement être honnête était une qualité propre à chacun, tu saurais mieux définir ta situation actuelle. | Re: (theobald) Just to say something real Sam 9 Déc - 15:50 |
| Bienvenue sur DOT Bon courage pour ta fiche petit lapin |
| | | | Re: (theobald) Just to say something real Sam 9 Déc - 16:44 |
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| | | | Re: (theobald) Just to say something real Sam 9 Déc - 17:13 |
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| | | | Re: (theobald) Just to say something real Sam 9 Déc - 17:22 |
| Bienvenue sur DOT ! |
| | | | Re: (theobald) Just to say something real Sam 9 Déc - 17:23 |
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| | | | Re: (theobald) Just to say something real |
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