i write sins not tragedies ○ braen

Invité

Braen Alwayfeat boyd holbrook

will you be able to catch the leprechaun ? he's waiting for you.

identité : Braen Alway. Fallait faire dans les classiques Gallois.

naissance : Le 18 novembre 1981 à Milford Haven, un trou du Pays de Galles

origines : Gallois, même si son accent s'est bien adapté à l'Irlande.

statut : Il a ramassé cette nana sur le bord de la route, mais lui ça l'empêche pas de faire ce qu'il veut

occupation : ($$$$$$) Il a racheté le Parnell Bar il y a 5 ans de ça. Pratique pour blanchir l'argent. Et il prostitue sa nana de temps à autre. Ce qui le fait gagner -parfois-, c'est le jeu.

situation familiale : Une petite soeur au Pays de Galles, mais sinon pas grand chose.

arrivée à dublin : Il y a 5 ans de ça. Pas son endroit préféré sur Terre mais il s'y fait.

kaeh tiphaine 20 ans france inventé faut remercier haz

#gallois #joueur #whisky

let's play my movie

singing my song

#manipulateur #violent #fier

lucky shamrock Braen c'est l'abruti à qui il faut pas tourner le dos. Il est parfois souriant, serviable et arrangeant,
mais il n'y a rien de gratuit chez lui. Type réfléchi qui ne fait rien à la légère, il pense que chaque problème a sa solution. C'est pas un affectueux, il préfère les coups aux caresses. Mais ça l'empêche pas d'être un séducteur né et déterminé au possible. Fin manipulateur, patient et stratège, il aura toujours ce qu'il veut.

Quel est ton mythe irlandais favori ?Les Dullahans. Il comprend que ça puisse faire peur aux gamins ces fées qui viennent décider de la mort des Irlandais. Braen a juste du mal à prendre au sérieux une cavalière sans tête sur un cheval supersonique qui crache des flammes.
Pouvoir les repousser grâce à de l'or est une métaphore de la vie qui le fait toujours sourire, l'air moqueur. Être riche, c'est tenir la mort au loin.
Sinon, autant se démerder avec les tracas du quotidien, et même les fées à poney. Quelle blague.

Dublin est-il ton home sweet home ?Braen a voyagé partout à travers le Pays de Galles,
l'Angleterre et l'Écosse. Il s'est posé parfois pour repartir. Dublin,
c'est une ville comme les autres qui est son point de chute pour le moment mais qui ne sera certainement pas sa destination finale. La ville a juste la particularité de voir naître un minimum d'implication citoyenne de la part du gallois. Qu'on se le dise, il n'est pas Irlandais et ne se revendiquera jamais comme tel.

(un) Il fume comme un pompier. La nicotine a certainement détruit ses poumons depuis le temps et l'odeur de tabac froid fait partie de lui. Mais il s'en branle. (deux) Il a de multiples cicatrices. C'est ce qui arrive quand on se bat pour tout et n'importe quoi puisque les mots ne sont pas en adéquation avec les élans de haine. (trois) C'est un séducteur qui aime collectionner les conquêtes, mais jamais plus. C'est pour flatter l'ego. (quatre) Il est insomniaque depuis des années. Son truc, c'est d'aller marcher dehors la nuit et d'observer les étoiles. Pas parce que c'est beau, mais parce qu'il en a vu tellement que ça le fait se sentir libre. (cinq) Il est homophobe et ne s'en excusera même pas. (six) Il ne parle jamais de sa vie. Impossible de savoir d'où il vient, comment il est arrivé là, s'il a de la famille. Il dit simplement qu'il n'a rien à raconter et qu'au pire, il vous emmerde. (sept) Il a un casier judiciaire pour quelques conneries sans importance. Il n'a pas été chopé pour ce qui lui attirerait des ennuis alors il fuit les forces de l'ordre comme la peste. (huit) Il a un truc pour les chiens et leur fidélité inébranlable. Ils valent mieux que les humains, sans l'ombre d'un doute. (neuf) C'est un beau mécano et bricoleur en général, mais il pourrait empoisonner quelqu'un en tentant de cuisiner. (dix) Il est très à cheval sur l'honnêteté et le respect. Lui planter un coup de couteau dans le dos serait le summum de la mauvaise idée.

my crazy lifestyle

#impulsif #vagabond #secret

„ Never be ashamed of who you are “

1 2

Invité

A beautiful Story

Les Alway. Ces Gallois qui vivaient au bout de la rue, juste avant la départementale de Milford Haven. La maison était pas entretenue, et généralement, les passants changeaient de trottoir. C'était pas les voisins modèles. Le père de famille, Ianto, était un connard alcoolique qui bossait à l'usine du coin. Une montagne de muscle, pas un modèle d'intelligence ou de respect. Sa femme, elle était jolie. Mais elle parlait jamais, baissait les yeux, avait tendance à être perdue dès qu'on lui demandait quelque chose. On la surnommait la débile, en ville. Les rumeurs allaient comme quoi elle serait muette depuis que son mari l'a fracassée. C'est pas vrai, ça. Braen il se souvient l'avoir entendue gueuler plus fort que tout quand son mari a essayé de toucher son fils. Ça a été la seule fois où Ianto a osé se dire qu'il avait tous les droits sur ses enfants. Le fait est que les gosses, on les plaignait, parce que c'était la chose à faire. Pourtant, on n'aura pas trouvé un seul parent qui aurait encouragé son chérubin à aller jouer avec le garçon ou la fille Alway. Peut-être à juste titre, quand on voit ce qu'est devenu Braen. Adolescent, il traînait dehors. Tout ce qui allait de travers, ça lui était mis sur le dos. Il a fait peur aux gamins, a racketté leur argent, a mis en cloque la jeune prude du quartier, a dealé de la drogue, a démembré le chien des voisins, et a vandalisé l'épicerie. C'est tous les crimes qui lui étaient imputés et ont fait sa réputation. Sauf qu'il a rien fait de tout ça, non. C'était pas son genre. Lui, il lui fallait des raisons, des motivations.

Il a fait pire. Parce qu'il voulait absolument se casser de là. Il avait à peine 17 ans quand il a commencé à penser à ses possibilités. L'école, ça le mènerait nulle part lui, et qu'il resterait pas sous le toit de ses parents plus longtemps que nécessaire. C'était plus simple en n'ayant aucunes perspectives de futur. Y avait bien Sian, sa petite sœur, pour le regarder avec ses grands yeux bleus et le supplier de pas la laisser quand elle a compris qu'il traînerait pas plus que nécessaire. Ils étaient pas à blâmer de vouloir fuir un père violent et une mère qui dit amen à tout. Par contre, Braen il a été à blâmer quand il a eu la pire idée de son existence. Il y avait cette famille qui habitait près du port. Belle maison, beau jardin, belle image en général. Bourrés de fric, la vieille peau avec ses diamants et le vieux coq avec ses costumes hors de prix. Il était le premier à dire ne pas faire confiance aux banques. Lui, son truc, c'était les investissements immobiliers. Il possédait presque la moitié de la ville.

Alors à 17 ans, Braen a compris que puisqu'il ne savait rien faire, autant profiter du travail des autres. Il a pris quelques jours pour observer et être sûr de son coup. Puis un soir d'hiver, il est passé à l'acte. Il n'avait qu'un couteau de boucher sur lui. Il a attendu que la vieille aille prendre son bain pour se glisser dans la maison par la fenêtre de la cuisine et prendre possession des lieux. Quand elle est redescendue, il l'attendait dans le salon. Il était assez rapide pour la menacer de son couteau, a pu compter sur sa coopération pour s'asseoir sur une chaise et se laisser attacher et bâillonner. De là, Braen a juste eu à attendre que le mari rentre. Un couteau contre la gorge de son épouse, c'était un argument convainquant il faut croire parce qu'il lui a filé du fric. Pas tout ce qu'il possédait probablement, mais bien assez pour financier les prochaines années de vie du jeune qui a fini par partir. Il a traumatisé, mais il a pas blessé. 100 000 pounds, un putain de jackpot.

Le lendemain, il se barrait de la ville en stop. Il a atteint Cardiff comme ça, avec son petit sac de voyage et son fric. Il a abandonné tout le reste. Là-bas, il a acheté un camping-car qui est devenu sa maison, et un chiot pour se tenir compagnie. Un espèce de cocker raté, mais qui a fait un compagnon fidèle durant toutes ces années. Voilà à quoi elle a ressemblé sa vie durant des années. Il parcourait les routes sans même avoir son permis -il y a remédié au bout de quelques années-, a parcouru le Pays de Galles, l'Angleterre et l'Écosse. Parfois, il restait au même endroit pas mal de temps, ce qui lui a fait rencontrer des gens. Mais souvent, c'était plus le genre vagabond à courir après les femmes aux mœurs légères pour un matelas plus confortable, un petit-déjeuner offert gratos et surtout les couilles vidées. Il a passé pas mal de temps à fréquenter les cellules de dégrisement, aussi. Au final, le fric il a fini par s'évaporer et Braen a dû improviser. C'est comme ça qu'il a commencé à fréquenter les casinos. Il a appris à jouer, à tricher pendant des années. Il s'est fait dégager de quelques endroits, et il faut dire que les années lui ont fait mal. Heureusement que sa stratégie et son bluff ont été plus puissant que ses talents de tricheur.

Mais le fait est qu'il a fini par se lasser de cette vie, de toujours être sur la route sans rien d'autre que son chien pour l'aimer. Qui a fini par crever, en passant. Il s'est fait cruellement la réflexion le jour où il y a eu cette jolie rousse qu'il fréquentait qui a fini par le repousser en lui lâchant qu'elle ne pouvait pas être avec quelqu'un comme lui. C'était cruel, ce rejet. D'autant plus amer que si lui valait rien, alors elle non plus avec ses yeux bleus criards qui semblaient toujours supplier pour quelques grammes de cocaïne en plus. Ça a peut-être été la seule histoire d'amour qu'il a eue dans sa vie. Le seul électrochoc qui lui a fait dire qu'ils pouvaient tous aller se faire foutre.

Il a vendu son fidèle camping-car pour trois fois rien, pour de quoi se payer un billet d'avion vers l'Irlande et quelques nuits dans une auberge qui sentait le renfermé. C'est comme ça qu'il est arrivé à Dublin, toujours avec son sac de voyage. Ça a été la même emmerde, le même retour à zéro. Ça l'a titillé de se laisser embarquer dans un nouveau plan foireux, mais il a pas voulu risquer la taule. Pour la première fois de sa vie, il a tenté de trouver un boulot. Y a un garage à la sortie de la ville qui l'a embauché pour dépanner, une poignée de semaines. Le temps qu'il lui a fallu pour se faire des contacts dans certains bars pas franchement bien fréquenté. Il a reçu son invitation pour une soirée de jeux, dans une cave du centre-ville. Ambiance tamisée, gros cigares, verres de whisky trop plein, et des putains de liasses de billets. Il est arrivé avec rien Braen, 200 pounds à tout casser. Mais il s'est retrouvé chanceux dans ce nouveau pays où personne ne connaissait sa stratégie de gallois. Il les a tous niqué au poker. Les mises à trois chiffres ont été remplacées par celles à quatre, cinq, même six chiffres à une reprise. Ce jour là, il s'est arrêté, a pris son fric et est rentré chez lui.

Il a pas pu acheter un appartement, pas même en louer un. Il a le fric mais pas le boulot, ça a rendu les propriétaires frileux. Le Parnell Bar, c'était un signe, presque. Devanture bien placée, des locaux pas en mauvais état, un prix bradé par les gamins qui veulent pas reprendre l'affaire du père. Braen a tout claqué dans ce bar. Ça a été assez marrant de le voir galérer pour tout remettre en ordre, pour trouver des employés. Y a eu des petits cons qui ont voulu l'entuber pour leur salaire, pour l'inventaire. Ça a fait sa réputation apparemment, de menacer un de ses employés avec le côté brisé d'un goulot de bouteille préalablement fracassée. C'est comme ça qu'il a gagné des travailleurs sérieux, pas désireux du tout de merder avec le patron. En quelques semaines, il a pu retourner demander un appartement, pas loin du boulot. On lui a souhaité la bienvenue dans cette vie de métro boulot dodo.

Mais c'était mal le connaître. Le bar, c'est quand il décide de faire sa loi, boire un coup ou récupérer son fric. Des billets qu'il sait où jouer. Sauf que voilà, on ne gagne pas à tous les coups. Et le merdier quand on se lance dans l'illégalité, c'est que les autres types sont aussi là pour une raison. La discrétion et la possibilité de créer leurs règles sur les dettes, par exemple. Parce que ce qui devait arriver est arrivé, Brean s'est foutu dans la merde et a joué plus que ce qu'il avait.

Dommage que ça ait coïncidé avec Astrid. Une gamine maigrichonne qui faisait peine à voir, assise en bas de sa rue dans les températures négatives. Pâle comme la neige, les dents se retenant à grandes peines de ne pas claquer. Ça l'a frappé quand il est sorti de chez lui acheter un paquet de clopes. Mais il a haussé un sourcil et l'a regardée de haut. Le fait qu'elle soit encore là 2h plus tard, ça l'a fait s'arrêter. Il lui a dit de se ramener, et elle était assez désespérée pour le fait. Pas dit que ça ait été le bon choix pour elle, parce que sans le savoir, la gamine s'est jetée droit dans la gueule du loup. Il ne sait même pas pourquoi il lui a permis de rester. Probablement parce que ça faisait longtemps qu'il avait pas eu de la compagnie chez lui pour plus qu'une nuit. C'était quand même pas le choix royal. Maigrelette, à peine majeure, gosse à problèmes et junkie par-dessus le marché. Ça lui a rappelé des souvenirs, comme ces sueurs liées au manque. Il a jamais été porté sur la drogue lui, mais il se souviendra toujours du regard de pure reconnaissance qu'elle a eu quand il lui a secoué un sachet en plastique rempli de poudre devant le nez. Ça l'a excitée, l'a rendue prête à n'importe quoi. Lui, il savait que s'il ne payait pas, elle le volerait. Comme s'il avait besoin de ça, alors qu'il devait des dizaines de milliers de pounds pour avoir joué comme un con. Ouais, il se souvient lui avoir dit un jour qu'il faisait pas ça gratuitement. Elle était désemparée, la petite. Flippée à l'idée de retourner dehors. Sauf qu'elle avait rien à lui offrir, à part son corps.

Il a pris tout ce qu'elle avait à donner. Pour lui, mais aussi pour les autres. Sa pureté a disparu en l'espace de quelques secondes entre ses mains. Quant à son innocence, les types du sous-sol s'en sont chargés. Un seul à la fois, des règles posées. Ça a un prix qui allège la dette de Braen un peu plus à chaque fois. Même utilisée et abusée, elle continue de leur plaire Astrid. Probablement son visage de gamine, son corps de poupée. Le côté pervers qui fait dire qu'ils devraient pas avoir le droit de la toucher.

Il aimerait dire que ça l'empêche de dormir Braen, mais c'est pas le cas. Plus il la maltraite, plus elle fait des efforts pour lui plaire. Il est plus seul, il paye ses dettes et profite de sa poupée. C'est tordu ouais, mais faut croire qu'il est trop égoïste pour s'en inquiéter aujourd'hui. Elle a fait ses choix, il a fait les siens.

Invité

t'es moche dégage Secret - i write sins not tragedies ○ braen 2292136851

Invité

JOTEM.
Secret - i write sins not tragedies ○ braen 136071057

Invité

Bienvenue et bon courage pour ta fiche! Secret - i write sins not tragedies ○ braen 2745892574

Invité

boyd
bienvenue parmi nous

Invité

Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche Secret - i write sins not tragedies ○ braen 28175215

Invité

Boyd

Secret - i write sins not tragedies ○ braen 2813842076

Et ce personnage de fou qui se profile Secret - i write sins not tragedies ○ braen 4212026397

Bienvenue sur DOT Secret - i write sins not tragedies ○ braen 653015557

Invité

Bienvenue et bon courage pour ta fiche! Secret - i write sins not tragedies ○ braen 2442993475

Invité

bienvenue et courage pour ta fiche Secret - i write sins not tragedies ○ braen 2745892574

bienvenue sur dirty old town petit lapin Secret - i write sins not tragedies ○ braen 451242138

Invité

Welcome

Secret - i write sins not tragedies ○ braen 71000529

Ouloulou..... Secret - i write sins not tragedies ○ braen 2219022576

Bienvenue sur dirty old town petit lutin Secret - i write sins not tragedies ○ braen 1087882788

! Je te souhaite la bienvenue sur notre forum bon courage pour la rédaction de ta fiche, n'hésites surtout pas si tu as la moindre question, on sera là pour t'aider et répondre à tes questions Secret - i write sins not tragedies ○ braen 2813842076

Invité

bienvenue
bon courage pour ta fiche

Invité

Bienvenue parmi nous Secret - i write sins not tragedies ○ braen 3957018114

courage pour ta fichette Secret - i write sins not tragedies ○ braen 2724813087

» braen • definitely not alone
» a beautiful day (or not...) - (Braen)
» (braen) alcohol is my only friend.